L’avantage d’une histoire sans fond c’est qu’on peut lui faire dire exactement ce qu’on veut. C’est justement le choix de Lautrec qui en profite pour passer un coup de gueule gouailleux contre la violence et la folie du monde (et fatalement du métro aussi). Lautrec c’est la poésie du quotidien déclamée avec la voix éraillée aigre-douce de notre début de siècle désabusé, ça fleur Panam et ses cafés, et ça réussi quand même à vous faire voyager… Alors goûtez moi déjà cette première tranche de style…
Exercice de style #2 par Lautrec.
Instru : Rodia
Mix : Antoine Lalbat
Graphisme : Quentin Sixdeniers
26 novembre 2017